« Bien avant de jouer le frère de Martin dans Les beaux malaises, le destin s’est chargé de me faire savoir ce qu’est un traumatisme crânien. J’ai été, comment dire, « sensibilisé de force » parce que j’ai vu la vie d’un proche basculer. C’était aussi la vie de toute une famille que je voyais aller dans une direction où les parts d’inconnu sont nombreuses. Martin, l’humoriste vedette, est maintenant un ami avant tout. Je sais que les intentions qui l’habitent sont nobles et c’est donc tout naturel de m’associer à cette grande cause. »